Même si les communes n’ont pas prévu de relever le taux de la taxe foncière, celle-ci est en augmentation sur tout le territoire.
Le montant de la taxe est obtenu en multipliant le taux d’imposition fixé par la commune, par la valeur locative cadastrale du bien. Celle-ci correspond au loyer annuel que pourrait rapporter sa location.
Cette valeur est actualisée et revalorisée chaque année par l’État, en fonction de l’indice des prix à la consommation harmonisé publié par l’INSEE au mois de novembre précédent la taxation.
« En 2025, compte tenu de la valeur de l’IPCH constatée en novembre 2024, le coefficient de revalorisation est fixé à 1,068, soit une augmentation forfaitaire de 1,7 % de la base de calcul des propriétés bâties et non bâties (hors locaux professionnels), » précise le site des impôts.
Pour rappel, les contribuables non mensualisés ont jusqu’au 20 octobre pour s’acquitter de leur taxe, en ligne.